Le métier de traducteur est un métier qui attire de plus en plus de Français. En effet, ce métier permet de mettre à profit ses connaissances linguistiques et de se lancer dans une carrière internationale. En effet, nombreuses sont les ONG et les associations internationales qui recrutent des traducteurs. Il faut cependant suivre des formations bien précises et obtenir des diplômes professionnalisants avant d’exercer ce métier. Conseils sur la formation à faire pour devenir traducteur.
Le master à vocation internationale
De très nombreux masters à vocations internationales ont vu le jour depuis la fin des années 1990. En effet, la croissance exponentielle des relations internationales a poussé les universités à créer des parcours spécialisés dans ce domaine.
Aujourd’hui, l’une des meilleures solutions pour se lancer dans une carrière de traducteur est de poursuivre une formation dans un master international, comme c’est le cas notamment du master en management interculturel et international. En effet, ce type de formation permet d’acquérir un certain nombre de compétences et de qualités indispensable pour exercer le métier de traducteur.
Les formations spécialisées dans la traduction et l’interprétariat
Pour répondre à la demande des institutions internationales et des ONG en matière de traducteurs et d’interprète, de très nombreuses écoles spécialisées dans ce domaine ont vu le jour au cours de ces dernières années.
Ainsi, pour exercer le métier de traducteur, il est parfaitement possible de s’inscrire dans une école de traduction et d’interprétariat. La formation dispensée au sein de ces écoles permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour exercer un métier lié à la traduction ou à l’interprétariat. À noter qu’il s’agit de formation relative courte dans le temps : il est possible d’obtenir son diplôme au terme d’un cursus d’une durée de deux ou trois ans.
Les formations longues à l’université
L’université offre également des formations permettant de devenir traducteur. Il s’agit de formations généralistes, telles que la licence langues, littératures et civilisations étrangères et régionales (LLCE) ou la licence langues étrangères appliquée (LEA).
Ces licences permettent alors d’acquérir des connaissances théoriques sur une langue en particulier, telles que l’allemand, l’anglais ou l’espagnol. Des spécialisations permettent par la suite d’exercer le métier de traducteur ou d’interprète. Grâce à la maîtrise complète d’une ou plusieurs langues, il est également possible de travailler dans le tourisme au cours de sa carrière. À noter que ces spécialisations sont accessibles une fois que l’on passe en master.
Ainsi, il existe de très nombreuses solutions de formations et d’études pour devenir traducteur. Il est possible de s’inscrire dans des écoles spécialisées ou de suivre des formations généralistes à l’université, puis de se spécialiser ultérieurement dans la traduction et l’interprétariat.